Selon une étude récente, les chats domestiques en liberté auraient un impact négatif sur la biodiversité. Ils perturbent les écosystèmes en interagissant avec des espèces natives.
Ainsi, 15 % des espèces chassées par le chat seraient des espèces en voie d’extinction ou en passe de l’être, avec une prévalence d’espèces insulaires plutôt que continentales. Sans surprise, les espèces les plus menacées par ces carnivores invasifs seraient les oiseaux, suivis de près par les mammifères et les reptiles.
Il est également important de noter qu’en plus de leur régime alimentaire, néfaste à bien des égards, ils peuvent aussi être porteurs de nombreuses maladies (toxoplasmose, rage…).
Grâce à ces éléments maintenant reconnus, de nouvelles initiatives pourront peut-être voir le jour afin de réduire l’impact négatif du chat domestique en liberté.