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Dispositifs de formation

La plupart de nos modules sont basés sur un dispositif de terrain permettant l’apprentissage en situation réelle. Ils font l’objet d’un minutieux travail de préparation, de repérage et de sélection afin de correspondre aux maximum de cas rencontrés par les professionnels dans leur quotidien.

Marteloscope

Un marteloscope est un dispositif pédagogique de terrain permettant de pratiquer des prélèvements fictifs dans un peuplement afin de les analyser et de les comparer sur une base objective permettant le débat collectif.

Il intègre les dimensions économiques, environnementales et sociales de chaque arbre et de l’écosystème qu’il constitue et permet de former les gestionnaires forestiers mais aussi de sensibiliser un public moins informé.

Nos marteloscopes

Mis en place dans une forêt gérée en traitement irrégulier depuis déjà une cinquantaine d’années, ce marteloscope offre un exercice pratique complet du jeune semis jusqu’à l’arbre mature. Il est situé dans une hêtraie-chênaie ardennaise typique sur sols bruns forestiers, où le hêtre domine largement.

L’objectif pédagogique de ce marteloscope est de s’exercer au martelage en hêtraie-chênaie irrégulière. Les professionnels y trouveront les réponses techniques utiles à leurs pratiques de terrain. Augmenter la proportion de chêne dans le mélange est également visé par ce dispositif.

Ce marteloscope occupe une futaie  mélangée du Condroz avec dominance de chêne et traitement irrégulier.

Le marteloscope de Bissen est installé dans la région écologique du Gutland central. Le peuplement est une jeune chênaie-charmaie issue d’un ancien taillis sur sol sablo-limoneux caractérisé par endroits par des régimes hydriques alternatifs (engorgements temporaires). L’objectif est d’accompagner ce peuplement vers une futaie équilibrée, mélangée en dimensions, essences et âges grâce à une gestion irrégulière.

Mis en place dans une forêt gérée en traitement irrégulier depuis déjà une cinquantaine d’années, ce marteloscope offre un exercice pratique complet du jeune semis jusqu’à l’arbre mature. Il est situé dans une hêtraie-chênaie ardennaise typique sur sols bruns forestiers, où le hêtre domine largement.

L’objectif pédagogique de ce marteloscope est de s’exercer au martelage en hêtraie-chênaie irrégulière. Les professionnels y trouveront les réponses techniques utiles à leurs pratiques de terrain. Augmenter la proportion de chêne dans le mélange est également visé par ce dispositif.

Installé dans un peuplement résineux ardennais traité en irrégulier. Thématique des gros bois résineux.

Ce marteloscope occupe une futaie  mélangée du Condroz avec dominance de chêne et traitement irrégulier.

Un premier marteloscope est installé dans un peuplement mélangé épicéas-douglas traité en irrégulier au stade premières éclaircies. Le second se trouve en douglas pur traité en irrégulier.

Ce marteloscope est installé dans un peuplement de douglas  traité en irrégulier.

Ce marteloscope est installé dans un peuplement feuillu mélangé traité en irrégulier.

Installé dans une chênaie-charmaie sur sol limono-sableux, il permet d’aborder la gestion en irrégulier et la régénnération du chêne en présence de charme.

Le marteloscope de Bissen est installé dans la région écologique du Gutland central. Le peuplement est une jeune chênaie-charmaie issue d’un ancien taillis sur sol sablo-limoneux caractérisé par endroits par des régimes hydriques alternatifs (engorgements temporaires). L’objectif est d’accompagner ce peuplement vers une futaie équilibrée, mélangée en dimensions, essences et âges grâce à une gestion irrégulière.

Travailloscope

Un travailloscope est un outil pédagogique dont l’objectif est de transmettre les bonnes pratiques pour les travaux forestiers et d’aider les gestionnaires à appréhender les coûts réels de chaque travail et l’impact qu’il peut avoir sur l’écosystème forestier. Le dispositif permet de pratiquer des choix fictifs, de les analyser et de les comparer sur une base objective permettant le débat en équipe.

Diminuer l’impact des travaux forestiers sur l’environnement tout en limitant leur coût ? C’est possible si vous avez une connaissance fine et de terrain des travaux forestiers dit « ciblés ». 

À cette fin, les travailloscopes sont des dispositifs pédagogiques essentiels qui permettent de s’exercer et d’acquérir ces connaissances indispensables aux gestionnaires.

Nos travailloscopes

En octobre 2021, un premier travailloscope a été inauguré en peuplements résineux à Daverdisse. Celui-ci répond amplement aux préoccupations actuelles des forestiers, abordant des situations de blocage et la thématique des mélanges sur une zone qui a été mise à blanc pour raison sanitaire (scolytes).

Depuis plusieurs années l’agent de triage donne de plus en plus
de place aux dynamiques naturelles. Le propriétaire, la commune de Rambrouch, soutient cette démarche pour
tendre vers une sylviculture mélangée à couvert continu.
La régénération naturelle est abondante sur la zone du
travailloscope malgré une densité de grande faune élevée
(chevreuil, cerf, sanglier). En effet, de nombreux dégâts
sont visibles sur le terrain (abroutissement, frottis).

Ce dispositif aborde la thématique parfois complexe des travaux forestiers. En effet, au vu du contexte actuel de nombreux forestiers sont à la recherche d’alternatives pour diminuer les investissements liés au renouvellement forestier. Le travailloscope de Grimbiémont se concentre sur le mélange d’essences, la limitation des coûts, la colonisation du sol, les moments clés d’intervention et les semis utiles.

En octobre 2021, un premier travailloscope a été inauguré en peuplements résineux à Daverdisse. Celui-ci répond amplement aux préoccupations actuelles des forestiers, abordant des situations de blocage et la thématique des mélanges sur une zone qui a été mise à blanc pour raison sanitaire (scolytes).

Depuis plusieurs années l’agent de triage donne de plus en plus
de place aux dynamiques naturelles. Le propriétaire, la commune de Rambrouch, soutient cette démarche pour
tendre vers une sylviculture mélangée à couvert continu.
La régénération naturelle est abondante sur la zone du
travailloscope malgré une densité de grande faune élevée
(chevreuil, cerf, sanglier). En effet, de nombreux dégâts
sont visibles sur le terrain (abroutissement, frottis).

Arbre-objectif

Dans le cadre du Plan quinquennal de recherches et vulgarisation forestières, Forêt.Nature suit 9 dispositifs expérimentaux en collaboration avec le DNF, l’UCLouvain et l’ULiège. Ces dispositifs ont pour but de mesurer la croissance d’arbres-objectif en hêtre et en chêne qui ont été éclaircis plus ou moins fortement. Quatre modalités de détourage sont appliquées pour évaluer les effets de l’éclaircie sur la croissance des troncs et des houppiers, la croissance en hauteur, mais aussi les impacts sur la vigueur des arbres tant ceux ayant bénéficiés du détourage que leurs concurrents. Chaque année et depuis près de 20 ans, quelque 450 arbres sont mesurés et plus de 120.000 données ont été récoltées.

Lisièroscope

Le lisièroscope est une aire d’exercice qui permet d’effectuer un martelage fictif. Le choix des arbres à couper se fait en faveur d’une lisière structurée et diversifiée, favorable à l’accueil d’une biodiversité riche. Il consiste en une zone d’un peu plus d’un hectare installée en lisière externe, où tous les arbres vivants de plus de 30 cm de circonférence sont numérotés et cartographiés. Tous les arbres morts sur pieds de plus de 60 cm de circonférences sont également inventoriés. Sur chaque arbre inventorié plusieurs variables sont relevées, dont l’essence, la circonférence, la présence de dendromicrohabitats, la valeur écologique, la qualité économique, ainsi que quelques critères spécifiques tels que le fait que l’arbre soit penché au dessus de la prairie agricole. L’enjeux de ce dispositif et de s’exercer à marteler avec des lunettes plus axées biodiversité que lors du martelage à l’intérieur du peuplement.

Nos lisièroscopes

Nassogne

Assesse

Flore indicatrice

8 circuits sont proposés, pour correspondre à différents contextes rencontrés par les agents forestiers. 

Ces circuits sont conçus pour y trouver plusieurs stations différentes afin de les analyser à l’aide d’un relevé floristique à interpréter. Par exemple :

  • Station 1 : zone plane sans contrainte particulière
  • Station 2 : zone plane avec une contrainte de régime hydrique alternatif
  • Station 3 : station en pente exposée au sud
  • Station 4 : station alluviale, située à côté d’une rivière
  • Station 5 : station en pente exposée au nord

Des circuits regroupant ont été installés dans les régions de Saint-Vith, Spa, Namur, Rochefort, Saint-Hubert, Mons, Viroinval et Virton.

Qualité des bois

Le dispositif est un circuit dédié à l’observation des arbres sur pied, afin d’aiguiser l’œil à « lire l’écorce » et repérer les défauts de forme. Après avoir appris à repérer les différents défauts et singularités, les participants passent à la loupe, en petits groupes ou seul, les 11 arbres numérotés. Ils évaluent leur qualité, repèrent les défauts et estiment les usages possibles de la grume. Ensuite, ces arbres sont examinés avec tout le groupe pour un débriefing de mise à jour des connaissances et expériences.

Il s’agira ensuite de concentrer l’attention sur l’observation de l’impact dans le bois des défauts repérés sur l’écorce, notamment grâce à des grumes spécialement sciées afin d’exposer les défauts. Une dizaine de grumes ont été sciées en plot. Chaque planche est scrutée pour observer la répercussion des défauts sur l’usage potentiel.

Enfin, la « Visite guidée du parc à grume » – qui regroupe une sélection d’arbres de très haute qualité ainsi que leurs surbilles – permet d’observer ce qui est techniquement et commercialement toléré pour des usages spécifiques et ce qui pose problème. Les « défauts de tranches », qui ne sont pas repérables a priori sur les arbres sur pied, peuvent y être examinés.

Parc à grumes

C’est un espace aménagé pour valoriser les plus belles grumes de Wallonie et organiser leur vente aux enchères. Il s’agit d’un dispositif du DNF (SPW ARNE) que nous utilisons pour nos formations « Qualité des bois » et « Visite guidée du parc à grumes de Wallonie ». Cette vente sur parc à grumes est organisée de façon coordonnée avec la France, l’Allemagne, le Grand-Duché de Luxembourg et la Flandre. Cette vente commune permet de mutualiser les acheteurs potentiels, d’avoir davantage de concurrence ainsi qu’une meilleure attractivité des lots mis en vente.

La vente sur parc à grumes permet au DNF de promouvoir la valorisation de grumes de très haute qualité issues des forêts publiques. Elle présente plusieurs atouts :

  • Elle sert de vitrine pour exposer la qualité des bois wallons et le savoir-faire des agents du DNF.
  • Elle offre une opportunité de valoriser des bois de qualité auprès d’acheteurs spécialisés.
  • Elle regroupe des bois de qualité exceptionnelle en un seul endroit et facilite l’accès pour les acheteurs.
  • Elle encourage les sylvicultures qui valorisent la production de bois de qualité.


Le volume proposé à la vente est d’environ 300 m3/an, ce qui représente moins de 0,1 % du volume de bois feuillu exploité annuellement en forêt publique.

Les prix de vente sont élevés. En 2022, les chênes sessiles et pédonculés ont été vendus au prix moyen de 1293€/m3 (prix max. 3469€/m3).

Marteloscope

Un marteloscope est un dispositif pédagogique de terrain permettant de pratiquer des prélèvements fictifs dans un peuplement afin de les analyser et de les comparer sur une base objective permettant le débat collectif.

Il intègre les dimensions économiques, environnementales et sociales de chaque arbre et de l’écosystème qu’il constitue et permet de former les gestionnaires forestiers mais aussi de sensibiliser un public moins informé.

Nos marteloscopes

Marteloscope de Vecmont (La Roche-en-Ardenne, Belgique)

Mis en place dans une forêt gérée en traitement irrégulier depuis déjà une cinquantaine d’années, ce marteloscope offre un exercice pratique complet du jeune semis jusqu’à l’arbre mature. Il est situé dans une hêtraie-chênaie ardennaise typique sur sols bruns forestiers, où le hêtre domine largement.

L’objectif pédagogique de ce marteloscope est de s’exercer au martelage en hêtraie-chênaie irrégulière. Les professionnels y trouveront les réponses techniques utiles à leurs pratiques de terrain. Augmenter la proportion de chêne dans le mélange est également visé par ce dispositif.

Marteloscope de Bêchefa (Vielsalm)

Installé dans un peuplement résineux ardennais traité en irrégulier. Thématique des gros bois résineux.

Marteloscope de Haugimont

Ce marteloscope occupe une futaie  mélangée du Condroz avec dominance de chêne et traitement irrégulier.

Marteloscopes de Haut-Fays

Un premier marteloscope est installé dans un peuplement mélangé épicéas-douglas traité en irrégulier au stade premières éclaircies. Le second se trouve en douglas pur traité en irrégulier.

Marteloscope de Petit-Thier (Vielsalm)

Ce marteloscope est installé dans un peuplement de douglas  traité en irrégulier.

Marteloscope de Rance (Sivry-Rance)

Ce marteloscope est installé dans un peuplement feuillu mélangé traité en irrégulier.

Marteloscope de Rochefort

Installé dans une chênaie-charmaie sur sol limono-sableux, il permet d’aborder la gestion en irrégulier et la régénnération du chêne en présence de charme.

Travailloscope

Un travailloscope est un outil pédagogique dont l’objectif est de transmettre les bonnes pratiques pour les travaux forestiers et d’aider les gestionnaires à appréhender les coûts réels de chaque travail et l’impact qu’il peut avoir sur l’écosystème forestier. Le dispositif permet de pratiquer des choix fictifs, de les analyser et de les comparer sur une base objective permettant le débat en équipe.

Diminuer l’impact des travaux forestiers sur l’environnement tout en limitant leur coût ? C’est possible si vous avez une connaissance fine et de terrain des travaux forestiers dit « ciblés ». 

À cette fin, les travailloscopes sont des dispositifs pédagogiques essentiels qui permettent de s’exercer et d’acquérir ces connaissances indispensables aux gestionnaires.

Nos travailloscopes

Travailloscope de Grimbiémont (Belgique)

Ce dispositif aborde la thématique parfois complexe des travaux forestiers. En effet, au vu du contexte actuel de nombreux forestiers sont à la recherche d’alternatives pour diminuer les investissements liés au renouvellement forestier. Le travailloscope de Grimbiémont se concentre sur le mélange d’essences, la limitation des coûts, la colonisation du sol, les moments clés d’intervention et les semis utiles.

Travailloscope de Daverdisse (Belgique)

En octobre 2021, un premier travailloscope a été inauguré en peuplements résineux à Daverdisse. Celui-ci répond amplement aux préoccupations actuelles des forestiers, abordant des situations de blocage et la thématique des mélanges sur une zone qui a été mise à blanc pour raison sanitaire (scolytes).

Arbre-objectif

Dans le cadre du Plan quinquennal de recherches et vulgarisation forestières, Forêt.Nature suit 9 dispositifs expérimentaux en collaboration avec le DNF, l’UCLouvain et l’ULiège. Ces dispositifs ont pour but de mesurer la croissance d’arbres-objectif en hêtre et en chêne qui ont été éclaircis plus ou moins fortement. Quatre modalités de détourage sont appliquées pour évaluer les effets de l’éclaircie sur la croissance des troncs et des houppiers, la croissance en hauteur, mais aussi les impacts sur la vigueur des arbres tant ceux ayant bénéficiés du détourage que leurs concurrents. Chaque année et depuis près de 20 ans, quelque 450 arbres sont mesurés et plus de 120.000 données ont été récoltées.

Flore indicatrice

8 circuits sont proposés, pour correspondre à différents contextes rencontrés par les agents forestiers. 

Ces circuits sont conçus pour y trouver plusieurs stations différentes afin de les analyser à l’aide d’un relevé floristique à interpréter. Par exemple :

  • Station 1 : zone plane sans contrainte particulière
  • Station 2 : zone plane avec une contrainte de régime hydrique alternatif
  • Station 3 : station en pente exposée au sud
  • Station 4 : station alluviale, située à côté d’une rivière
  • Station 5 : station en pente exposée au nord

Des circuits regroupant ont été installés dans les régions de Saint-Vith, Spa, Namur, Rochefort, Saint-Hubert, Mons, Viroinval et Virton.

Qualité des bois

Le dispositif est un circuit dédié à l’observation des arbres sur pied, afin d’aiguiser l’œil à « lire l’écorce » et repérer les défauts de forme. Après avoir appris à repérer les différents défauts et singularités, les participants passent à la loupe, en petits groupes ou seul, les 11 arbres numérotés. Ils évaluent leur qualité, repèrent les défauts et estiment les usages possibles de la grume. Ensuite, ces arbres sont examinés avec tout le groupe pour un débriefing de mise à jour des connaissances et expériences.

Il s’agira ensuite de concentrer l’attention sur l’observation de l’impact dans le bois des défauts repérés sur l’écorce, notamment grâce à des grumes spécialement sciées afin d’exposer les défauts. Une dizaine de grumes ont été sciées en plot. Chaque planche est scrutée pour observer la répercussion des défauts sur l’usage potentiel.

Enfin, la « Visite guidée du parc à grume » – qui regroupe une sélection d’arbres de très haute qualité ainsi que leurs surbilles – permet d’observer ce qui est techniquement et commercialement toléré pour des usages spécifiques et ce qui pose problème. Les « défauts de tranches », qui ne sont pas repérables a priori sur les arbres sur pied, peuvent y être examinés.

Parc à grumes

C’est un espace aménagé pour valoriser les plus belles grumes de Wallonie et organiser leur vente aux enchères. Il s’agit d’un dispositif du DNF (SPW ARNE) que nous utilisons pour nos formations « Qualité des bois » et « Visite guidée du parc à grumes de Wallonie ». Cette vente sur parc à grumes est organisée de façon coordonnée avec la France, l’Allemagne, le Grand-Duché de Luxembourg et la Flandre. Cette vente commune permet de mutualiser les acheteurs potentiels, d’avoir davantage de concurrence ainsi qu’une meilleure attractivité des lots mis en vente. 

La vente sur parc à grumes permet au DNF de promouvoir la valorisation de grumes de très haute qualité issues des forêts publiques. Elle présente plusieurs atouts.

  • Elle sert de vitrine pour exposer la qualité des bois wallons et le savoir-faire des agents du DNF.
  • Elle offre une opportunité de valoriser des bois de qualité auprès d’acheteurs spécialisés.
  • Elle regroupe des bois de qualité exceptionnelle en un seul endroit et facilite l’accès pour les acheteurs.
  • Elle encourage les sylvicultures qui valorisent la production de bois de qualité.

Le volume proposé à la vente est d’environ 300 m3/an, ce qui représente moins de 0,1 % du volume de bois feuillu exploité annuellement en forêt publique.

Les prix de vente sont élevés. En 2022, les chênes sessiles et pédonculés ont été vendus au prix moyen de 1293€/m3 (prix max. 3469€/m3).

Certaines formations n’ont pas de dispositif propre.

Réception des plants est construite sur des fournitures de plants et une présentation de terrain décentralisée

Martelage en traitement irrégulier vous accompagne dans votre ligne de martelage effective

Fichier écologique des essences : pédologie qui permet de vérifier par sondage sur vos sols les résultats de vos requêtes.