Le curly birch n’est autre que le bouleau verruqueux doté d’une mutation génétique. Celle-ci a pour conséquence, en perturbant l’activité du cambium, de former des vague dans le bois et de produire des inclusions d’écorce, très décoratives. La coupe tangentielle longitudinale du tronc révèle l’aspect le plus connu, retrouvé notamment dans les placages.

La langue française n’est pas toujours très cohérente, notamment en ce qui concerne les noms des groupes de végétaux. De hêtraie à mélezin ou a vigne, on peine à trouver une logique sur base du nom du végétal seul. Et pourquoi n’édicterait-on pas une fois pour toute des règles simples?

Les milieux ouverts forestiers et les lisières sont des biotopes particulièrement riches en biodiversité. Le gestionnaire forestier possède les outils pour créer et maintenir ces types de milieux tout en interférant peu, ou pas, avec la production sylvicole.

Chez les chênes, des années maigres suivent des pics de fructification de façon remarquablement synchrone sur de grandes régions. Les mécanismes à l’oeuvre sont encore méconnus. Pourtant il devient urgent de mieux les comprendre pour appréhender les effets du changement climatique.

En 2009 un premier document faisait le point sur les connaissances que nous avions du changement climatique et de ses effets sur nos forêts. Sa mise à jour récente est l’occasion de revenir sur les points principaux de ce changement et les recommandations pour les gestionnaires forestiers.

Plusieurs grandes règles peuvent guider le gestionnaire dans le détourage des arbres-objectif. Mais l’essence, le stade du peuplement ou son contexte écologique doivent aussi être pris en compte. Ici, nous présenterons un nouvel indice permettant d’affiner le travail du sylviculteur.

La traque-affût, souvent appelée à tort « poussée silencieuse » est un mode de chasse collectif qui allie éthique, efficacité et quiétude au profit d’une forêt multifonctionelle. Ce mode de chasse se pratique depuis le 14e siècle, principalement en Allemagne. La traque-affût peut être pratiquée partout, quelle que soit la superficie (dès 50 ha) ou le type (écosystème) du territoire, à condition qu’il y ait quelques zones dégagées pour placer les postes de tir à l’intérieur des peuplements.