La traversée sauvage d’un cours d’eau par des engins d’exploitation induit des dégâts parfois irréversibles au milieu. La nécessité d’aménager le passage est donc primordiale. L’article se base essentiellement sur une série d’expérimentations menées par l’AFOCEL en France et sur un essai de traversée en Gaume à l’aide d’un kit de tuyaux en PEHD. Les exemples français sont le pont de bois, les rampes métalliques, un système appelé ECO-MATTE, mais qui concerne surtout la mise en place d’un « sentier » de rondins, et les tuyaux en PEHD. Les conditions de mise en place de ce dernier système jouent fortement sur l’efficacité du dispositif.