En forêt, le couvert forestier a permis de préserver les vestiges archéologiques jusqu’à aujourd’hui. On pourrait être tenté de laisser la végétation s’y développer sans intervenir. Elle peut néanmoins amener des dommages irréversibles liés au développement des racines ou à la survenance de chablis. La végétation doit être gérée. D’autres menaces pèsent sur les sites archéologiques comme la faune et une fréquentation non-contrôlée du public.