Le sorbier des oiseleurs est souvent cité comme essence de diversification. Il est même souvent l’un des derniers recours du forestier dans les stations très contraignantes. Mais est-ce une véritable essence de production ? Peut-on produire des grumes de valeur avec cette essence ? Cet article fait le point sur cette question, à partir de la littérature, d’enquêtes, de visites de terrain et de personnes ressources pour établir la place du sorbier dans la sylviculture.