On dit que pour bien protéger, il faut bien connaître. Les forêts anciennes ne font pas exception et l’amélioration de la connaissance de leurs limites devraient aider les gestionnaires à mieux prendre en compte ces milieux témoins et fragiles.
Jérôme de Paron, Paul Crismer, Vincent Colson, Thierry Kervyn
On dit que pour bien protéger, il faut bien connaître. Les forêts anciennes ne font pas exception et l’amélioration de la connaissance de leurs limites devraient aider les gestionnaires à mieux prendre en compte ces milieux témoins et fragiles.
Bibliographie complémentaire :