Durant les années ‘70 et ‘80, la vitalité de nos pessières s’est dégradée suite à la pollution atmosphérique. Depuis, les retombées acides ont diminué. Pourtant, la vitalité n’est toujours pas au rendez-vous. Des phénomènes complexes ont conduit à des déséquilibres nutritionnels qui, exacerbés par les sécheresses, continuent de fragiliser nos pessières et pourraient les exposer à de nouvelles vagues de dépérissement.