Search
Generic filters
Training
Forêt.Nature journal
Forêt.Mail
Bibliotheque

Sommaire

Numéro 138

Forêt.Nature, la revue technique consacrée à la gestion résiliente des espaces forestiers et naturels

4 numéros par an, ± 80 pages au format A4, couleur.

Des contenus adaptés aux préoccupations larges des gestionnaires forestiers et des espaces naturels

Sommaire

Numéro 138

Hugues Lecomte, Vincent Colson, Christian Laurent, Didier Marchal

La Wallonie dispose de données cadastrales actualisées sur la structure de la propriété forestière et sur la cartographie du morcellement foncier. L’article propose de comparer la surface boisée wallonne issue des données cadastrales à la surface forestière estimée par l’inventaire forestier. Ensuite, il tente d’analyser l’évolution du morcellement au cours des 40 dernières années avant de caractériser la forêt privée wallonne en fonction de la classe de superficie des propriétés. L’interprétation de quelques chiffres met en évidence des différences notables selon l’étendue des propriétés, notamment en termes de prélèvements de matériel ligneux.

Sophie Schmitz, Adrien Charlier, Laurence Delahaye, Anne Chandelier

Au cours des dernières années, les plantations de douglas ont rencontré un succès grandissant chez les propriétaires tant publics que privés. Pourtant, de nombreuses parcelles de jeunes douglas présentent un profil phytosanitaire peu satisfaisant. Aux côtés de la rouille suisse, très tôt montrée du doigt, d’autres agents pathogènes ont fait leur apparition, comme Sirococcus conigenus. Leur identification n’est pas toujours aisée, d’autant qu’ils peuvent cohabiter sur un même douglas où une action combinée est à craindre. Leurs conditions climatiques propices sont toutefois différentes. La rouille suisse est omniprésente en Ardenne mais les dégâts sont plus importants en Ardenne chaude. Par contre, Sirococcus est plutôt présent dans l’Est.

Stéphane Vanwijnsberghe, Vincent Colson, Anne-Marie Granet

Cet article présente une démarche afin que tout projet relatif à la fonction récréative d’un massif forestier ou d’un espace naturel soit réfléchi de façon intégrée (prise en compte des différents services écosystémiques), de façon participative (concertation avec les acteurs du territoire) et avec une vision s’inscrivant dans la durée.

Raphaël Boutsen, Sidonie Artru, Hugues Claessens, Marc Dufrêne, Bert Reubens, Sarah Garré, Ludivine Lassois

L’agroforesterie associe la production ligneuse d’arbres avec d’autres cultures ou avec l’élevage. Si des formes traditionnelles d’agroforesterie se sont perpétuées jusqu’à nos jours, grâce notamment à des aides indirectes de la PAC, une nouvelle génération est en train d’émerger. Des modèles plus complexes et novateurs tentent d’intégrer l’arbre à une réflexion globale sur le système de production. La prise en compte des processus sous-jacents aux fonctionnements des écosystèmes est au cœur de cette réflexion. Il n’existe donc pas une forme unique d’agroforesterie mais plusieurs manières plus au moins intensives et intégrées de réimplanter les arbres dans le paysage rural, en fonction des objectifs des promoteurs et des conditions locales.